Léa Pillette, doctorante, et Aline Roc (avec l’EEG), stagiaire de l’équipe-projet Potioc. Pour les personnes victimes d’AVC, les thérapies actuelles ne sont pas adaptées s’ils ne peuvent plus bouger leurs membres supérieurs (bras) ; la thérapie actuelle se base sur les résidus de motricité pour travailler la plasticité cérébrale. S'il n'y a aucun résidus moteur, il n'y a aucun retour et c’est déprimant ; du coup on se base sur l'activité cérébrale des personnes pour fournir un feedback visuel réaliste et tactile ; les gants (vibro-moteurs) vibrent au niveau des adducteurs, vibration profonde pour stimuler la plasticité cérébrale et voir les progrès que fait le patient.
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